Pour la trentième édition de la fête de la musique, X makeena était à Rennes pour mettre le feu place des Lices. Ce groupe local qui tourne depuis maintenant dix ans, est au milieu de sa tournée d'adieu et regorge toujours d'énergie. C'est donc un concert d'une intensité remarquable et d'une grande qualité que les que les Rennais nous ont offerts, un spectacle vraiment complet avec un budget pourtant pas si élevé. Le show tout autant appréciable du point de vu de la musique que de la mise en scène, leur son atypique mêlant drum'n bass, hip-hop et dubstep se marie parfaitement à l'univers particulier qu'est le leur. Si, sur scène, l'ambiance était électrique, la foule amassé devant les cinq artistes semblait à cour de jus; cela s'explique sans doute par le fait qu'il s'agissait d'une scène ouverte à la fête de la musique et non d'un concert traditionnel.
Lors du festival du boeuf ka rock, nous avons eu la chance de les interviewer. Voila un rendu de ce moment:
"C'est votre tournée d'adieu, un de vos derniers festi, vous êtes en clôture de soirée, comment ça se présente?
-Bien comme avant toute scène, bien motivé pour faire bouger le publique du ka rock!
-Ca fait dix ans que vous tournez, pouvez nous nous parlez de l'experience X makeena?
-C'est vrais que ça fait pile 10 ans qu'on a commencé, au tout début le groupe était formé de nous deux (les deux frères un des M-C et des Machinistes.) On est rapidement passé à 3 avec le bassiste, puis l'autre machiniste et enfin le danseur. Durant notre parcours nous avons essayé de modifier nos spectacles à chaque représentation, avec plus où moins de technique et de moyen. A un moment de notre carrière nous nous sommes rendu compte que nous nous reposions trop sur les machines et avons fait marche arrière afin de rester authentique, pour enfin mettre en place le spectacle que vous verrez en fin de soirée.
-Que cherchez vous à faire passer par vos textes, que racontent-ils?
Nos textes, sont principalement des histoires fictives, mais ils sont également composés d'anticipations et d'appel à réagir face à certaines actions politiques.
-Qu'en est-il de votre avenir? Pourquoi vous séparez vous, où va aller toute cette énergie?
-Il est temps de faire autre chose, c'est une page de notre vie qui va se tourner, nous nous séparons maintenant avant d'en avoir marre et de se trahir. Nous avons déjà organisé divers ateliers sur Rennes (n’hésitez pas à aller voir sur leur site pour plus d'infos), et il n'est pas impossible que nous en refassions à l'avenir car c'était une très bonne expérience. Maintenant à chacun sa route..
-Merci beaucoup pour cette entrevue, nous avons une dernière question pour vous, avez vous peur du Yéti?
-Le Yéti? Nous avons des masques à gaze, des beats biens lourd et tout un publique pour le faire fuir, même pas peur!"
Ours.
11/06/2011
Dubamix à rennes.
La dernière semaine du printemps était aux couleurs du Dub au bar Rennais de la Paillote avec Two Big bulls ina one pen, composé des sound systems Earth tone & Selekta Indhuman jeudi soir. Et DUBAMIX le samedi soir.
Pas grand chose à dire sur la soirée de jeudi, on s'attendait à mieux. Bien que les skeuds qu'ils ont joués soient vraiment bons, et sublimés par les quelques kilos de son au rdv. Les transitions de seconde zone entre chaque tracks, les effets trop rares et relativement inintéressants ont quelque peu plombés notre plaisir et l'ambiance générale.
c'est la CNT qui organisait le concert de dubamix et le débat sur la révolution qui le précédait. La discution semble avoir particulièrement intéressée les zicos, car leur concert qui devait normalement commencer à 22 heure n'a finalement débuté que trois quarts d'heure plus tard. C'est donc devant un publique impatient que le groupe commence son set.
Bon d'accord, on peu trouver deux points faibles au concert, un live trop court et un volume trop bas pour ce genre de musique. Mais sinon? Un concert d'une qualité remarquable une vraie énergie et une bonne prestation scénique, avec notamment les interventions d'un saxo et d'un mélodica. Les visus étaient également appréciables et on a eu le droit à un vrai remix de leurs pistes, dont le côté militant les caractérises.
Le publique, très réceptif à cette énergie dégagée, ne les a laissé partir qu’après 4 rappels des plus vigoureux et le trio assurera 1/2 heure de plus de bon gros dub.
Pas grand chose à dire sur la soirée de jeudi, on s'attendait à mieux. Bien que les skeuds qu'ils ont joués soient vraiment bons, et sublimés par les quelques kilos de son au rdv. Les transitions de seconde zone entre chaque tracks, les effets trop rares et relativement inintéressants ont quelque peu plombés notre plaisir et l'ambiance générale.
Bon d'accord, on peu trouver deux points faibles au concert, un live trop court et un volume trop bas pour ce genre de musique. Mais sinon? Un concert d'une qualité remarquable une vraie énergie et une bonne prestation scénique, avec notamment les interventions d'un saxo et d'un mélodica. Les visus étaient également appréciables et on a eu le droit à un vrai remix de leurs pistes, dont le côté militant les caractérises.
Le publique, très réceptif à cette énergie dégagée, ne les a laissé partir qu’après 4 rappels des plus vigoureux et le trio assurera 1/2 heure de plus de bon gros dub.
09/06/2011
festival Naataba vibration.
Naataba Vibration
Samedi 11 juin, l’association Naataba Vibration, organisait à la salle de la cité à Rennes
son festival. Au programme du reggae, de l’afrobeat, et diverses influences (Mandingue, US…)
avec : Zionzinc, Lion show, Djoukan (pas de page web) et City Kay. Cette jeune association, dont le nom signifie «vibrer
ensemble» à pour but d’organiser des concerts pour la scène reggae/world music. Nous proposerons
bientôt une interview du président de l’association pour plus de précisions.
La soirée débute assez tôt avec Zionzinc que nous avons raté.
Nous arrivons à la salle de la cité où nous sommes très bien reçus par Kassoum, le président de l’asso, ce dernier nous installe dans les loges et nous accorde un entretien qui dure jusque à la fin du concert de Lion show. Nous avions néanmoins des amis dans la salle qui nous on rapportés la prestation du groupe.
Les musiciens de Lion Show, qui jouent de musique Mandingue et Casamance, nous ont offerts un voyage en Afrique la durée d’un concert grâce à leur ambiance sonore chaude et envoutante. Le
public, malheureusement venu trop peu nombreux, a grandement apprécié. C'était un bon moment durant lequel les musiciens ont su faire passer des émotions tout en restant dans la sobriété.
Nous arrivons en salle et c’est devant un public un peu plus nombreux, que le groupe Djoukan commence son set et dès leur première chanson l’audience est touchée par la magie de leur musique. La formation, outre le classique « power trio » (basse, gratte, batterie) est composée : du chanteur qui joue également, du n’goni, du Djembé et un peu de guitare. D’un joueur de n’tama, un de Djembé et d’un trompettiste, le tout étant sublimé par une chanteuse qui maitrise parfaitement la danse Africaine. Ils enchainent de longues chansons ariennes et entrainantes, ponctuées par des breaks mettant notamment la trompette et les percussions en avant. Ces moments rythmés sont pour la danseuse, propices à une vraie démonstration de son talent. Ce groupe, à l’identité originale,est une très bonne surprise et une découverte que nous allons suivre avec intérêt.
Suivent alors les City Kay pour clôturer la soirée. Du bon gros reggae bien roots qui fait vibrer la foule,
grossie par l’arrivée tardive des derniers renforts. Et yen a un, sur scène, qui vibrait particulièrement,
coiffé comme sa guitare, avec un jeu de scène "extra-terrestre!"Il avait l’air d’avoir soif.
Sinon la bande nous fait profiter de son reggae très propre, très pro. Des musiciens de qualité qui restent dans les racines du genre, et qui gagneraient peut-être à trouver leur originalité.
En conclusion, Naataba vibration réalise un très bon début et invite qui plus est des groupes
méconnus qui méritent de monter.
08/06/2011
visite de l'expo zappa en bd.
Et oui, Faded Gecko ne traitera pas que de concerts et de festivals, nous aspirons à la longue, à élargir le plus possible notre champ d'action. Ainsi nous créons nôtre premier article autour d'une exposition, mais il ne devrait pas être le dernier.
L'expo "We're only in it for the comics" traitait de Mr Frank Zappa! Du 10 Juin au 10 Juillet, à la Bascule, de multiples artistes ont exposés leurs œuvres ayants toutes pour sujet Frank Zappa. Avec un concert le 10 juin pour l'inauguration.
Le bar était investi par les planches et illustrations des exposants.Les planches exposées mêlaient humour et quelques références à la vie de Zappa ou étaient de simples inspirations artistique. Le contenu, bien que ne révélant rien d'exclusif sur la vie du moustachu s'adressait tout de même à un publique un minimum avertit sur la vie de cet amoureux du tabac.
Si l'exposition en elle même était sympathique bien que ne présentant rien de renversant, le mouvement "Frank zappa en bd" est une initiative que nous saluons et encourageons.
Jokoko
L'expo "We're only in it for the comics" traitait de Mr Frank Zappa! Du 10 Juin au 10 Juillet, à la Bascule, de multiples artistes ont exposés leurs œuvres ayants toutes pour sujet Frank Zappa. Avec un concert le 10 juin pour l'inauguration.
Le bar était investi par les planches et illustrations des exposants.Les planches exposées mêlaient humour et quelques références à la vie de Zappa ou étaient de simples inspirations artistique. Le contenu, bien que ne révélant rien d'exclusif sur la vie du moustachu s'adressait tout de même à un publique un minimum avertit sur la vie de cet amoureux du tabac.
Si l'exposition en elle même était sympathique bien que ne présentant rien de renversant, le mouvement "Frank zappa en bd" est une initiative que nous saluons et encourageons.
Jokoko
03/06/2011
résumé de la soirée "Le goulag de l'amour."
Soirée jeux de rôle soviétique, étonnant, non? Oui, mais "la sophiste" l'a fait!
"La Sophiste est reconnue officiellement en mars 2008 afin de promouvoir la vie culturelle en organisant des événements musicaux et cinématographiques; proposer au public des animations : concerts, expositions, projections; rassembler les acteurs de la vie culturelle locale; soutenir les jeunes talents artistiques; faire participer les entreprises à la vie cultuelle; produire et réaliser des films" (source: le site de la sophiste).
La soirée du 04/06/2011, soit "le Goulag de l'amour" avait lieu au 48 (élaboratoire de Rennes), arrivée à 21H 48 sur les lieux.
"Deux soldats soviétique sortent des bâtiments et me prient de les suivre. Je m’exécute. Ils m'installent dans la salle d'interrogatoire et ils me font passer aux aveux. Malgré mon innocence ils me mettent au cachot (assis par terre sur quelques couvertures, pas de barreaux) en tenue de prisonnier. J'y rencontre mon premier codétenu, qui me parle de conditions de vie dans le goulag. Puis arrivent peu à peu les autres prisonniers, qui sont là pour divers motifs.Après une attente assez longue, les derniers détenus arrivent (sans interrogatoire en raison d'un léger contre temps technique)." -Jokoko
Feliks et Mitch, les deux organisateurs de la soirée, nous expliquerons plus tard qu'ils ont étés dépassés par le nombre de détenus ce qui a provoqué une mauvaise gestion du temps. La mise en ambiance était vraiment bonne, mais ils ont sans doute sacrifié un peu trop de temps aux entrées, au dépend des prisonniers (imaginez Jokoko rentré en tout premier.) Une fois tous les captifs arrivés (plus d'une heure et demie d'attente). La soirée commence:
"Nous sommes tous en habits de l'armée Russe (les tenues des prisonnières sont très affriolantes) , nos persécuteurs nous ordonnent de nous mettre en ligne non mixte, au grand dam de certain. Ils nous passent ensuite un film nous montrant les états généraux Russes se livrant à des chorégraphies complexes.. et Poilantes.
(Vidéo à venir)
Feliks nous annonce que lors de notre séjour au Goulag, nous allons fabriquer de la vodka et être les acteurs d'une révolte sensuelle. Il nous fait par la suite passer des bandeaux rouges à nous mettre sur les yeux. Nous sommes toujours en rang d’oignon, mais c'est maintenant aux patates que nous allons nous intéresser; les yeux bandés, nous devons ramasser les tubercules que Mitch vient de faire dégringoler d'un sac. Une fois nos solanaceae en mains, nous recevons l'ordre de faire un «massage patate» non mixte encore une fois. Certains jouent le jeux, quelques-uns bravent les interdits et procèdent à un massage hétéro, (tout reste sage pour le moment). C'est dans une ambiance agitée que continue la soirée, nos geôliers nous divisent en trois groupes, et projettent de nous faire chanter à la gloire du féculent, et le chant est une vraie réussite!
Les organisateurs avaient prévus d'autres animations mais leur projet avorte quelque peu, laissant place dans un premier temps à de la Tekno Rouskov comme promis dans leurs tracts. Par la suite la soirée tourne en fête plus classique.
En bref, l'effet escompté par les organisateurs n'est pas pleinement atteint, car ils attendaient de nous une rébellion contre eux et leur goulag. Et finalement malgré quelques protestations, nous avons globalement suivit leurs directives. Néanmoins le principal objectif est atteint: celui de faire passer une bonne soirée aux gens, de s'être bien marré, et d'avoir organisé une soirée très originale.
A VENIR, UNE "INTERVIEW" EXCLUSIVE DE FELIKS!
Ours & Jokoko.
"La Sophiste est reconnue officiellement en mars 2008 afin de promouvoir la vie culturelle en organisant des événements musicaux et cinématographiques; proposer au public des animations : concerts, expositions, projections; rassembler les acteurs de la vie culturelle locale; soutenir les jeunes talents artistiques; faire participer les entreprises à la vie cultuelle; produire et réaliser des films" (source: le site de la sophiste).
La soirée du 04/06/2011, soit "le Goulag de l'amour" avait lieu au 48 (élaboratoire de Rennes), arrivée à 21H 48 sur les lieux.
Feliks et Mitch, les deux organisateurs de la soirée, nous expliquerons plus tard qu'ils ont étés dépassés par le nombre de détenus ce qui a provoqué une mauvaise gestion du temps. La mise en ambiance était vraiment bonne, mais ils ont sans doute sacrifié un peu trop de temps aux entrées, au dépend des prisonniers (imaginez Jokoko rentré en tout premier.) Une fois tous les captifs arrivés (plus d'une heure et demie d'attente). La soirée commence:
"Nous sommes tous en habits de l'armée Russe (les tenues des prisonnières sont très affriolantes) , nos persécuteurs nous ordonnent de nous mettre en ligne non mixte, au grand dam de certain. Ils nous passent ensuite un film nous montrant les états généraux Russes se livrant à des chorégraphies complexes.. et Poilantes.
(Vidéo à venir)
Feliks nous annonce que lors de notre séjour au Goulag, nous allons fabriquer de la vodka et être les acteurs d'une révolte sensuelle. Il nous fait par la suite passer des bandeaux rouges à nous mettre sur les yeux. Nous sommes toujours en rang d’oignon, mais c'est maintenant aux patates que nous allons nous intéresser; les yeux bandés, nous devons ramasser les tubercules que Mitch vient de faire dégringoler d'un sac. Une fois nos solanaceae en mains, nous recevons l'ordre de faire un «massage patate» non mixte encore une fois. Certains jouent le jeux, quelques-uns bravent les interdits et procèdent à un massage hétéro, (tout reste sage pour le moment). C'est dans une ambiance agitée que continue la soirée, nos geôliers nous divisent en trois groupes, et projettent de nous faire chanter à la gloire du féculent, et le chant est une vraie réussite!
Les organisateurs avaient prévus d'autres animations mais leur projet avorte quelque peu, laissant place dans un premier temps à de la Tekno Rouskov comme promis dans leurs tracts. Par la suite la soirée tourne en fête plus classique.
En bref, l'effet escompté par les organisateurs n'est pas pleinement atteint, car ils attendaient de nous une rébellion contre eux et leur goulag. Et finalement malgré quelques protestations, nous avons globalement suivit leurs directives. Néanmoins le principal objectif est atteint: celui de faire passer une bonne soirée aux gens, de s'être bien marré, et d'avoir organisé une soirée très originale.
A VENIR, UNE "INTERVIEW" EXCLUSIVE DE FELIKS!
Ours & Jokoko.
01/06/2011
Algues au rythme. (review)
Le vendredi 03 et le samedi 04 juin a eu lieu, à Arradon la 8éme édition du festival algues au rythme, au programme du vendredi, la compagnie de théâtre/chansons engagées, la compagnie jolie Môme. Aux échos que nous en avons eu, la troupe a fait un carton et leur spectacle énergique tant que leur communication avec le publique en a impressionné plus d'un.
Quand au samedi, c'est Lady Like Lily qui eu l'honneur de débuter les festivités avec ses balades accoustiques, malheureusement c'est un début mitigé car c'est le genre d'artiste qui ne supporte pas que les gens parlent durant son set, super pour les festivals quoi.. Le plus frustrant est que son univers a quelque chose de bien plaisant, c'est donc une personnalité à suivre (si on aime la folk d'aujourd'hui) mais qui devrait revoir son attitude envers le publique...
C'est donc au tour de Brigitte de chauffer l'ambiance du chapiteau, faisant participer le public à grand renfort de claquements de mains, c'est un suces, le publique est envoûté! Le duo de chanteuses et leurs zicos conquit Arradon avec ses chansons aux textes décalés et leurs mélodies pop qui font danser le publique.
S'en est suivit HK et les Saltimbanques voilà un groupe parfaitement à ça place en festi! Leurs textes engagés et leur rythmes puissants aidés des mélodies enjouées de l'accordéon leur assure une participation totale du public, certains verront même le Président du festi' danser la valse. C'est après 1h30 de spectacle et leur chanson phare "On ne lâche rien" que le public laisse partir à regrets les Saltimbanques pour accueillir The Betwitched Hand.
S'en est suivit HK et les Saltimbanques voilà un groupe parfaitement à ça place en festi! Leurs textes engagés et leur rythmes puissants aidés des mélodies enjouées de l'accordéon leur assure une participation totale du public, certains verront même le Président du festi' danser la valse. C'est après 1h30 de spectacle et leur chanson phare "On ne lâche rien" que le public laisse partir à regrets les Saltimbanques pour accueillir The Betwitched Hand.
Leur son est sympa mais beaucoup trop fort sans bouchons. Malgré tout, leur set hypnotise pas mal de gens! Les balances sont moyenne et la plupart du temps on entend pas les paroles. Cependant le groupe offre de beaux moments a la foule, notamment une chanson presque à cappella sur fond de guitare acoustique. Mais en général les Betwiched délivrent du gros son et jouissent d'une forte présence sur scène!
Enfin Beat Torrent clôture de la soirée sur un ton bien électro qui fait vibrer la foule.
Enfin Beat Torrent clôture de la soirée sur un ton bien électro qui fait vibrer la foule.
On peu noter la présence de la Flan Far aux Pruneaux lors des transitions des groupes,qui ont assuré une prestation de qualité tout au long de la soirée, la fanfare à notamment permit à la tension de ne pas redescendre entre les différent show.
En conclusion, une bonne rasade de musique venue de différents horizons, sublimée par la vente de vin blanc et de rouge Bio, à bien satisfait un public intergénérationnel très motivé, en somme une 8ème édition de Algues Aux Rythmes de qualité.
En conclusion, une bonne rasade de musique venue de différents horizons, sublimée par la vente de vin blanc et de rouge Bio, à bien satisfait un public intergénérationnel très motivé, en somme une 8ème édition de Algues Aux Rythmes de qualité.
Compagnie Jolie Môme
Samedi 04 Juin
Beat torrent
The betwitched hand
HK & les Saltimbanks
Brigitte
Ladylike lily
Ours; et merci à Camille pour sa contribution!
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